5 pconseilsour mieux utiliser les réactions Linkedin

Pendant des années, les utilisateurs de LinkedIn n’ont eu que trois options parmi lesquelles choisir lorsqu’ils s’engagent dans le contenu : aimer, commenter et partager.

Mais depuis peu, et pour satisfaire les requêtes des utilisateurs, les possibilités se sont multipliées. 4 boutons « réactions » sont venus s’ajouter au traditionnel « like » : j’adore, bravo, instructif et intéressant.

Qu’est-ce que ces nouvelles réactions apportent à votre stratégie LinkedIn ? Comment fonctionnent-elles et surtout, comment les utiliser à bon escient ?

Découverte des nouvelles réactions sur LinkedIn

Commençons d’abord par vous présenter ces nouvelles réactions, assez différentes de celles sorties par Facebook.

Sur LinkedIn, comme toujours, la place est donnée aux échanges professionnels :

  • J’aime : cette réponse classique reste toujours forte, donnant à vos abonnés un moyen simple de manifester leur intérêt ou leur soutien pour votre contenu.
  • J’adore : lorsque vos messages trouvent un écho profond auprès des abonnés, cette réponse leur permet de démontrer un lien plus intense avec le contenu de votre entreprise.
  • Bravo : LinkedIn est une plateforme qui permet de partager les événements de l’entreprise ou de votre vie professionnelle. Cette réaction est la réponse idéale aux réalisations passionnantes : anniversaire d’ancienneté, promotion, agrandissement des locaux, récompenses…
  • Instructif : lorsque vous partagez des articles de très grande qualité ou des réflexions approfondies, cette réaction permet à vos abonnés de montrer que vous les avez bien aidés.
  • Intéressant : si vous utilisez votre page d’entreprise LinkedIn pour lancer des conversations ou poser des questions qui suscitent la réflexion, cette réaction permet aux followers de montrer leur désir d’en savoir plus.
  • Ces réactions vous aideront à stimuler l’engagement, mais aussi à comprendre l’impact de vos publications sur votre communauté.

5 conseils pour utiliser les réactions de LinkedIn pour accroître l’engagement

Ajouter des réactions à la plateforme ne peut que favoriser le taux d’engagement sur vos pages LinkedIn. Face à ces multiples possibilités, vos contacts seront davantage encouragés à interagir !

Vous aussi, vous allez découvrir de nouveaux moyens de s’exprimer afin d’optimiser les forces de votre stratégie LinkedIn.

Cap sur les différentes façons d’utiliser ces réponses plus nuancées pour améliorer votre présence sur le réseau social B2B.

1. Utiliser les réactions LinkedIn pour mieux connaître votre public

Puisque les réactions de LinkedIn commencent à changer la façon dont vos abonnés s’engagent, cela a forcément un impact sur votre analyse.

Lorsque vous présentez de grandes idées, vous pouvez voir si vos messages suscitent des réactions « instructif ». Lorsque vous partagerez des nouvelles passionnantes, vous pourrez également déterminer si votre contenu encourage les « bravo ».

Poussez l’analyse LinkedIn encore plus loin en suivant les réactions qui déterminent les KPIs que vous souhaitez atteindre. Vous constaterez peut-être que les réactions « bravo » créent plus d’actions et renforcent la notoriété de la marque. Ou vous pourriez apprendre que les réactions « instructif » entraînent plus de trafic sur le site web et mènent à des inscriptions par email

2. Utiliser les réactions pour créer une relation avec un prospect

Seriez-vous insensible à un coup de « bravo » ou de « j’adore » ? Qui n’aime pas les félicitations ?

Avec ces nouveaux outils de réaction, vous montrez l’intérêt que vous portez à vos prospects en les félicitant pour un nouveau projet. Aller plus loin qu’un simple « j’aime » est un bon moyen pour approcher un prospect et entamer une relation de proximité avec lui.

3. Utiliser les réactions pour favoriser les relations avec vos employés

Importante pour l’image de votre entreprise, la cohésion entre vous et vos employés sur les réseaux sociaux fait partie intégrante d’une stratégie social media réussie.

Montrez votre solidarité en utilisant les réactions pour célébrer l’anniversaire d’entreprise d’un collaborateur, le féliciter d’une promotion ou mettre en avant un contenu de veille pertinent.

4. Utiliser les réactions pour débuter une relation avec un partenaire

LinkedIn est connu pour sa capacité à mettre en relation des partenaires B2B. Avec les nouveaux outils de réaction, vous pouvez montrer que vous aimez particulièrement les contenus ou les services offerts par une entreprise ou un freelance.

Laisser régulièrement des réactions « intéressant » et « instructif » permet d’intéresser ce potentiel partenaire en retour et, peut-être, de débuter une relation de travail.

5. Utiliser les réactions pour optimiser votre ligne éditoriale

Les réactions LinkedIn permettent de connaître les publications qui attirent le plus l’attention de votre communauté.

En observant les contenus qui génèrent des icônes « instructif », « j’adore » ou « intéressant », vous pourrez affiner votre ligne éditoriale. L’objectif : améliorer la qualité des contenus diffusés pour engager toujours plus vos contacts.

 

Une image vaut peut-être mille mots, mais les boutons de réactions valent aussi leur pesant d’or !

Ils permettent à votre communauté d’en dire davantage qu’un simple « j’aime ». Ils vous aident à entamer un partenariat en attirant l’attention de potentiels partenaires.

Voyez en eux l’occasion d’améliorer et d’optimiser votre présence sur LinkedIn, afin d’accroître vos performances commerciales !

CSS : 6 astuces pour booster la vitesse de votre site

La vitesse de votre site web est un critère essentiel dans l’expérience utilisateur et la qualité de votre référencement naturel. Lors d’un précédent article, nous vous avions d’ailleurs donné quelques conseils pour optimiser le temps de chargement de votre site.

Nous allons aujourd’hui nous arrêter sur le code CSS. Ces différentes lignes, si importantes pour la mise en page et les diverses animations de votre site, peuvent ralentir ce dernier.

Voyons quelques astuces très simples à mettre en place, qui amélioreront la vitesse de votre site web.

1. Utiliser Flexbox et CSS Grid

Si vous utilisez toujours les marginspaddings et floats pour aligner vos éléments, alors il est temps d’adopter des techniques de mise en page plus modernes.

Grâce à Flexbox et CSS Grid, vous pouvez créer des dispositions plus complexes, avec beaucoup de moins de code :

  • Flexbox permet des mises en page unidimensionnelles en disposant les éléments en ligne ou en colonne. Il est idéal pour les menus ou les galeries d’images par exemple.
  • CSS Grid permet des mises en page dans une grille à deux dimensions, c’est-à-dire en gérant simultanément la disposition des colonnes et des lignes.

Flexbox et CSS Grid sont supportés par de nombreux navigateurs, s’adaptent aux différentes tailles des écrans et vous font économiser plusieurs lignes de code.

2. Remplacer les images par des effets CSS et des SVGs

Le chargement d’une image peut prendre beaucoup de temps, surtout si cette dernière n’est pas optimisée pour le web. De plus, certaines d’entre elles s’avèrent inutiles.

C’est le cas par exemple des images de dégradés. Il est en réalité très simple de réaliser des gradients en CSS : vous pouvez choisir les couleurs ainsi que l’angle du dégradé. Alors oui cela vous rajoute quelques lignes de code, mais le chargement est bien plus rapide.

Les images en JPG et PNG peuvent quant à elles être remplacées par des SVGs (Scalable Vector Graphics) :

  • Sous ce format, les images se chargent plus vite
  • Vous n’avez pas besoin de charger une même image sous différentes tailles, puisqu’en SVG elle s’adapte automatiquement à l’écran de l’utilisateur
  • Vous pouvez ajouter des effets avec du CSS

3. Éviter d’utiliser la règle  !important

Cette règle CSS permet de donner la priorité à votre déclaration et remplace vos autres déclarations. Par exemple, si vous avez :

h1{
margin-bottom : 20px !important ;
}

Toutes les margin-bottom des h1 déclarées dans vos fichiers CSS prendront la même valeur : 20px.

Cette syntaxe est à éviter car elle oblige le navigateur à vérifier tout votre code. Si vos fichiers CSS sont conséquents, il est évident que cette pratique ralentira le temps de chargement de votre site web.

De manière générale, n’utilisez jamais la règle  !important, sauf si vous souhaitez remplacer le code CSS provenant d’une autre bibliothèque.

4. Retirer les typographies inutiles

Grâce à Google Fonts, il est aujourd’hui facile d’ajouter des typographies personnalisées à un site internet. Mais attention à ne pas ajouter des polices inutiles !

Commencez par ne charger que les styles dont vous avez besoin : vous pouvez par exemple retirer l’italique.

Utilisez également les polices variables, elles vous permettent de ne charger qu’un seul fichier pour accéder ensuite à plusieurs styles.

5. Éviter d’utiliser la règle @import

Il existe deux grandes techniques lorsque vous voulez charger un fichier CSS dans une page HTML :

  • L’utilisation de la balise <link> dans la section <head> du fichier HTML
  • L’utilisation de la règle @import au début de votre fichier CSS

Cette dernière option est idéale pour charger des typographies ou des éléments de petite taille. En revanche, cela demande bien plus de temps au navigateur pour aller chercher les feuilles de styles supplémentaires.

Privilégiez donc la balise <link> dans votre fichier HTML pour charger vos fichiers CSS.

Le saviez-vous ?
Lorsque vous ajoutez plusieurs fichiers CSS, tenez compte de l’ordre dans lequel vous les chargez.

Ajoutez d’abord le fichier CSS le plus générique, puis allez vers le plus spécifique. En effet, les styles des derniers fichiers remplacent ceux des fichiers précédents.

<link rel= "stylesheet " href= " main.css ">
<link rel= "stylesheet " href= " page.css ">
<link rel= "stylesheet " href= " components.css ">

6. Minifier et compresser les fichiers CSS

Notre dernier conseil et sans doute le plus efficace : la minification et la compression de vos fichiers CSS. Cette pratique peut vous faire gagner un temps de chargement considérable.

Il existe de nombreux outils pour minifier votre code, tel que CSS Minifier.

Adoptez ces bonnes pratiques pour vos fichiers CSS pour optimiser la vitesse de votre site web.

 

Les 7 meilleures alternatives à Power Point

Créer des présentations dynamiques et professionnelles. Organiser vos propos avec des slides et des images est incontournable, quel que soit votre secteur d’activité. Si pendant des années, Power Point était la solution indétrônable, de nouveaux logiciels voient à présent le jour et représentent une véritable concurrence pour le géant de Microsoft.

Parfois même gratuites, ces alternatives permettent aux entreprises ou aux indépendants qui n’auraient pas les moyens d’investir dans la suite Office, de posséder un outil efficace.

Quelles sont les meilleures options ? Voici notre sélection.

1. Google Slides

Vous l’aurez sans doute remarqué, on retrouve dans la Google Suite à peu près tous les outils existant chez Microsoft. Qu’il s’agisse de Sheets pour Excel, de Docs pour Word, etc. Slides est donc l’équivalent de Power Point. Reprenant les mêmes fonctionnalités de base, l’interface est simple et familier.

Parmi les grands avantages, on note la possibilité d’y accéder également via une application mobile ainsi que l’aspect collaboratif. Plusieurs personnes peuvent travailler sur un même slide, simultanément.

Cette alternative est parfaite pour des présentations simples qui ne requièrent pas d’options trop avancées. Si vous cherchez un outil plus complet, Google Slides s’avèrera un peu limité.

 

Google Slides est un logiciel gratuit.

2. Prezi

Avec 85 millions d’utilisateurs, Prezi est un sérieux concurrent pour Power Point.

Parmi les fonctionnalités qui en font un outil efficace, la possibilité de zoomer et dézoomer sur différentes zones du slide, est extrêmement appréciable.

En effet, elle permet de quitter la dimension statique des présentations Power Point pour amener du mouvement et donc de la dynamique. Cette fonctionnalité est idéale pour présenter une innovation, montrer en détail le fonctionnement d’un process ou encore attirer l’attention sur des détails importants.

En tant que logiciel SaaS (hébergé donc dans un cloud), Prezi permet aux collaborateurs de travailler simultanément sur un même projet.

 

Prezi offre un essai gratuit de 30 jours.

3. DesignBold

Un outil efficace, puissant et professionnel. Avez-vous vraiment besoin d’autre chose ? DesignBold offre une interface extrêmement simple à prendre en main. Le logiciel dispose d’un large choix de templates. Certains sont payants et d’autres non.

Vous pouvez également personnaliser vos présentations si vous le souhaitez, en ajoutant les éléments qui vous conviennent.

 

Si vous hésitez ou n’êtes pas certains d’avoir besoin des fonctionnalités premium, DesignBold offre un essai gratuit de 30 jours. Cela vous laissera le temps de décider ce que vous souhaitez faire.

4. Slides

À ne pas confondre avec Google Slides, Slides est un logiciel de création de présentations avec pour atout majeur sa simplicité d’utilisation.

L’outil est pourtant complexe puisqu’il permet de créer des présentations à partir de zéro. Avec Slides, vous pouvez en effet intégrer du CSS et du HTML à vos présentations. Cela le rend extrêmement souple.

Par ailleurs, un système de tutoriel existe pour vous accompagner étape par étape. L’autre point positif de Slides est l’accès via smartphone ou tablette.

Enfin, dernier point intéressant, il est également possible d’intégrer des graphiques animés pour engendrer encore plus d’interactions avec l’audience. Bref, une alternative complète et très intéressante.

 

Slides reste un outil très accessible. Hormis sa version gratuite qui vous limite à une capacité de stockage de 250 Mb, l’abonnement commence à partir de 5$ par mois.

5. Moovly

Dans la série des alternatives plaçant l’animation au cœur du processus, Moovlyest en bonne position. Vous pouvez en effet intégrer des animations au cœur de vos présentation tout en bénéficiant d’une série de templates prédéfinis qui apporteront immédiatement graphisme et professionnalisme à votre propos.

Moovly est également un outil collaboratif et vous pourrez donc travailler en temps réel, à plusieurs, sur un même projet.

 

Il s’agit d’une alternative gratuite à PowerPoint. Seules certaines animations sont réservées aux comptes premium.

6. SlideDog

SlideDog est pensé spécifiquement pour les conférences ou réunions qui nécessitent de faire réagir votre audience.

Il existe notamment une fonctionnalité permettant de poser des questions en direct à l’auditoire. Les participants peuvent y répondre avec leur smartphone. Cette alternative peut être particulièrement intéressante dans le cadre d’une présentation avec beaucoup de participants ou de réunions à distance.

SlideDog dispose d’une version gratuite, mais pour profiter des nombreuses fonctionnalités comptez 99$ par an.

7. Haiku Deck

À l’inverse d’outils qui cumulent les options et fonctionnalités, Haiku Deck vise le minimalisme.

Simple d’utilisation, il convient parfaitement pour des présentations basiques, sans fioritures. Son atout majeur est son immense bibliothèque de plus de 40 millions d’images libres de droit. Il dispose également de templates, créés par thématiques.

Si cette option est intéressante, elle pourrait rester trop simpliste pour des présentations plus poussées ou si vous souhaitez personnaliser vos slides.

 

Après une version gratuite de 7 jours, Haiku Deck est disponible à partir de 9,99$ par mois.

Il ne vous reste plus qu’à faire votre choix.

Web design : 8 bonnes pratiques à respecter pour une meilleure navigation

Tout utilisateur qui se rend sur un site souhaite naviguer facilement à travers les différents contenus. Cela signifie qu’il doit savoir où il est et où il va.

Si le parcours de navigation est trop flou ou trop compliqué il y a de forte chance pour que l’internaute quitte le site web puisqu’il n’arrivera pas à trouver les informations recherchées rapidement.

Pour garder vos utilisateurs sur votre site, les éléments de navigation ne doivent pas être négligés. Voici les bonnes pratiques à respecter…

1. Déterminez l’organisation de votre menu dès le début

Dès le début de votre projet vous devez déterminer les différentes pages qui composeront votre site web. Cela demande de réfléchir aux informations et fonctionnalités que vous offrirez.

Vient ensuite la hiérarchisation de ces informations. Vous pouvez construire un diagramme pour mettre en évidence les différents niveaux de navigation.

Dans la construction de votre arborescence, veillez à respecter les règles qui suivent :

  • Ne mettez pas plus de 7 rubriques au risque de perdre vos utilisateurs et de compliquer la mémorisation de votre menu
  • Classez vos rubriques par ordre d’importance : les rubriques au début et à la fin de votre menu attirent plus le regard

2. Soyez descriptif

Les mots que vous employez pour les rubriques de votre menu et dans vos call-to-action doivent être soigneusement choisis. Avant même de cliquer, l’utilisateur doit savoir le type d’information qu’il va trouver sur la prochaine page.

Vos énoncés doivent donc être clairs et précis.

N’hésitez pas choisir des énoncés plus longs, basés sur des mots ou expressions clés descriptifs. Les avantages concernent le SEO et l’expérience utilisateur :

  • Les moteurs de recherche comprendront plus facilement les sujets / thématiques sur lesquels vous souhaitez vous positionner
  • Les visiteurs pourront se rendre sur des pages répondant réellement à leurs attentes et trouveront plus rapidement ce qu’ils cherchent

3. Ne réinventez pas le web design

Vous pouvez exprimer votre créativité dans vos visuels, vos contenus écrits, dans la disposition de vos éléments ou encore dans la typographie. Mais pas dans les éléments de navigation.

Dans le web design, et comme partout ailleurs, il existe des conventions. Ces dernières fonctionnent car les personnes y sont habituées. Donc, ne les changez pas, sauf si votre « nouvelle » navigation est plus appropriée.

Voici quelques conventions existantes pour la navigation :

  • Le logo est situé en haut à gauche ou en haut au centre
  • La barre de navigation principale est située en haut de l’écran (horizontale) ou sur la gauche (verticale)
  • L’icône du menu hamburger permet d’ouvrir le menu s’il n’est pas visible (notamment sur mobile)
  • La barre de navigation est responsive

    4. Insérez un lien sur votre logo

    Il s’agit là d’une autre convention en matière de navigation sur un site web.

    Votre logo n’est pas seulement présent pour rappeler aux internautes sur quel site ils se trouvent. Il doit participer pleinement à la navigation, d’autant plus qu’il est situé tout près de votre menu principal.

    Lorsqu’un utilisateur clique sur votre logo, il doit être redirigé sur votre page d’accueil.

    5. Créez un footer adapté

    Jusque-là nous nous sommes concentrés sur le haut de votre site web, mais la navigation peut aussi avoir lieu en bas de page.

    Le footer est généralement réservé aux mentions légales et est de plus en plus utilisé pour renseigner les coordonnées et les liens vers les réseaux sociaux.

    Mais vous vous demandez peut-être si ce bas de page peut être utilisé pour renseigner un plan de votre site. La réponse à cette question dépend de la quantité d’information que vous avez en ligne.

    Pour les e-commerces par exemple, la plupart des internautes s’attend à trouver des informations supplémentaires dans le pied de page :

    • Service après-vente
    • Carte de fidélité
    • Cartes cadeaux
    • Trouver un magasin
    • Retour des produits et remboursement
    • Conditions générales de vente
    • Etc.

    Pour les « petits » sites internet, le footer n’a pas besoin de contenir le sitemap. Les utilisateurs doivent normalement naviguer facilement à travers le menu principal.

    6. Privilégiez une barre de navigation fixe

    La navigation dite « sticky » correspond à un menu principal qui reste en haut de page et qui est toujours visible, où que se situe l’utilisateur.

    Cette pratique est idéale sur les sites one page puisqu’elle permet aux internautes de poursuivre leur navigation facilement, sans qu’ils aient besoin de remonter en haut de la page.

    Alternative
    Si votre barre de navigation n’est pas fixe, ajoutez à minima un bouton permettant le retour en haut de page.

    7. Indiquez où se trouve le visiteur

    Les utilisateurs de votre site doivent toujours savoir où ils se situent. Pour cela, plusieurs solutions peuvent être combinées :

    • Mettez en évidence par une couleur la rubrique du menu principal où se situe l’internaute
    • Ajoutez un fil d’Ariane
    • Ajoutez une bannière en haut de chaque page avec le titre de cette dernière

    8. Utilisez à bon escient le mega menu

    Le mega menu correspond à un large panneau de navigation qui apparaît lorsqu’on clique ou que l’on passe la souris sur un item du menu principal. Ce type de menu permet à un utilisateur de voir en un seul coup d’œil toutes les options et sous-pages qui se cachent derrière un énoncé.

    Le mega menu est donc pratique, mais seulement lorsqu’il est bien utilisé :

    • Préconisez-le sur un site e-commerce ou tout autre site qui dispose de nombreuses catégories ou de nombreux services.
    • Visuellement, hiérarchisez les informations en les classant par catégorie et/ou en intégrant des icônes explicites.

    La navigation d’un site web a un impact sur votre trafic et vos conversions. Veillez donc à respecter toutes ces bonnes pratiques pour répondre aux besoins de votre cible.

    Si vous avez besoin d’aide dans la création de votre web design, faites appel à un expert  qualifié sur duoexpertise.com.

Les 5 tendances de paiement en 2019

Les tendances à venir en matière de paiements vont changer les comportements des consommateurs.

Exit les cartes de crédit et les virements ; vive le bitcoin, le paiement mobile ou le règlement via chatbot !

Cap sur 5 tendances à surveiller pour proposer une expérience d’achat optimale à vos clients, sans oublier d’œuvrer pour la sécurisation des paiements.

1. Les paiements mobiles

Les paiements mobiles sont considérés comme l’un des changements les plus importants dans le monde de la haute technologie.

Le saviez-vous ?
Les transactions sur smartphone ont triplé entre 2015 et 2017, d’après la Mobile Marketing Association France.

Mais la tendance va beaucoup plus loin : aujourd’hui, les consommateurs veulent pouvoir sortir leur téléphone, comme ils sortent leur carte bancaire, pour régler un achat en magasin.

En 2014, Apple a lancé la danse avec ApplePay, une technologie permettant de payer au comptoir avec son mobile. L’année suivante, plusieurs grands joueurs se sont joints à l’équipe.

Apple Pay

À l’heure actuelle, plusieurs chaînes de restauration rapide (Burger King, McDonald’s, Starbucks…) proposent le règlement in-app.

Étant donné que nous vivons tous avec le smartphone vissé à la main, il est clair que le paiement mobile est une des principales tendances de 2019 ! 

2. Le paiement en bitcoin

Petit à petit, le bitcoin se démocratise et nombreux sont les sites qui acceptent cette monnaie : ShowroomPrivé.com, ma-carte-cadeau, OpenBazaar, ExpressVPN, Wikipedia…

Considérée comme une tendance prometteuse, il est temps de réfléchir à son adoption sur votre e-commerce !

3. Un paiement omnicanal

Le parcours d’achat est désormais omnicanal.

Les consommateurs démarrent par le mobile et terminent leurs achats sur ordinateur. Parfois, ils commencent par effectuer des recherches sur leur PC, avant de se rendre en magasin. Ils peuvent aussi commander via une application mobile et se rendre en point de vente pour payer et retirer leurs produits.

Il est essentiel d’opter pour une véritable stratégie de paiement omnicanal pour augmenter les ventes.

Notre conseil
Utilisez des plateformes capables de gérer différents canaux d’achat sans créer de rupture dans le parcours client, afin de contenter chaque profil de consommateur.

4. Le paiement via chatbot

Une autre tendance concerne le paiement via chatbot.

Compte tenu de leur aspect ludique et de leur disponibilité, ces agents en ligne peuvent guider les consommateurs dans leurs achats… jusqu’à l’initiation du paiement.

Taco Bell, Oui.SNCF, Subway, Lufthansa, 1-800-Flowers… plusieurs entreprises proposent déjà ce service. Clairement, cette méthode de paiement s’inscrit dans la tendance, quand on sait que 85 % des interactions client-entreprise impliqueront l’usage d’un chatbot en 2022, d’après Gartner.

5. L’optimisation du 3-D Secure

La technologie 3-D Secure permet aux internautes de prouver qu’ils sont bien les propriétaires de la carte bancaire utilisée pour le paiement. Ceux-ci doivent valider le règlement via un code reçu par SMS.

Néanmoins, ce système d’authentification s’avère être à l’origine d’abandons de panier.

Imaginons que l’internaute soit à l’étranger, qu’il n’ait pas son téléphone sur lui ou que le réseau soit mauvais… Résultat : il ne peut pas terminer son achat. Il quitte alors le site.

Si la technologie 3-D Secure est essentielle pour protéger les clients, elle a besoin d’être optimisée. Par exemple, vous pouvez déterminer un montant à partir duquel l’authentification se déclenche. Vous avez aussi la possibilité d’opter pour la technologie Smart 3-D Secure qui détecte le risque lié au paiement et déclenche la procédure uniquement si besoin.

L’objectif étant de lutter contre l’abandon de panier (et donc d’augmenter les ventes), tout en sécurisant les paiements.

Anticiper, analyser et modéliser le fonctionnement de ces tendances est la clé du succès.

Le moment est venu de faire face à ces nouvelles méthodes de paiement pour les appliquer à votre business.

Combien de slides pour votre présentation Power Point ?

Pour ennuyer votre audience, il n’y a rien de mieux qu’une présentation trop longue, avec de nombreuses slides sur lesquelles aucun effort graphique n’a été réalisé.

Le nombre de slides justement, est une question que beaucoup se posent lors de la préparation de leur Power Point. S’il n’y a pas de règles bien définies à ce sujet, il convient de se baser sur la durée de la présentation.

Voyons combien de diapositives vous devez créer et comment bien les agencer pour que votre présentation Power Point retienne toute l’attention de votre public.

Sommaire :

  • La présentation dure 5 minutes
  • La présentation dure 10 minutes
  • La présentation dure 15 minutes
  • La présentation dure 30 minutes
  • La présentation dure 45 minutes

La présentation dure 5 minutes

Généralement, les courtes présentations se font face à un groupe de personnes restreint, et bien souvent sur un petit écran. Ces deux caractéristiques sont à prendre en compte lorsque vous créez votre Power Point.

Pour une durée d’environ 5 minutes, vous pouvez créer entre 5 et 10 slides. Comptez environ 2 minutes de parole par diapositive.

Pour capter l’attention de votre audience, faites-en sorte que le texte soit écrit assez gros (rappelez-vous que vous êtes sur un petit écran) et ne mettez qu’une idée par slide.

Notre conseil
Évitez d’inclure une diapositive pour inciter votre audience à poser des questions. Vous risquez d’augmenter significativement le temps de votre présentation. Préférez une diapositive avec vos coordonnées.

La présentation dure 10 minutes

Pour 10 minutes de présentation n’ayez pas peur de créer entre 10 et 20 slides.

Attention
Ici, il n’est pas nécessaire de passer 2 minutes sur chaque diapo. Votre temps de parole dépend de la complexité de l’information.

Notez que si vous souhaitez réserver quelques minutes pour répondre aux questions, le nombre de diapositives diminuera.

Là encore, chaque slide ne doit présenter qu’une idée. Pour une présentation claire et agréable à l’œil pour votre audience :

  • Ajoutez des espaces entre vos éléments
  • Utilisez du texte et des images
  • Gardez une police d’écriture cohérente

La présentation dure 15 minutes

Pour une présentation de 15 minutes, le nombre de slides n’est pas forcément bien différent que pour une présentation de 10 minutes.

En effet, dans ce genre de situation, les informations que vous présentez peuvent être plus complexes et il peut être nécessaire de passer plus de temps sur chaque diapositive. Vous serez peut-être amené à présenter un graphique, ce dernier doit être affiché suffisamment longtemps à l’écran pour permettre à votre audience de comprendre ce qu’il traduit.

Comptez donc une vingtaine de slides (30 maximum) pour une présentation de 15 minutes.

Les mêmes conseils que le point précédent s’appliquent concernant la mise en page de vos diapositives.

La présentation dure 30 minutes

Cela peut paraître surprenant, mais pour une présentation de 30 minutes vous pouvez rester aux environs de 20 slides.

N’hésitez pas à passer 5 minutes sur votre première slide pour introduire le sujet, de même que sur la dernière. Vous pourrez ainsi laisser un temps pour répondre aux questions de votre audience.

Pour les parties de votre présentation qui demandent d’être approfondies, vous pouvez passer 3 minutes sur une slide.

Ce genre de présentation pouvant être longue pour votre public, n’hésitez pas à donner du rythme. Une petite astuce consiste à créer des slides pour introduire une nouvelle partie, elles seront passées très rapidement et permettront à votre audience de suivre votre cheminement.

La présentation dure 45 minutes

Pour ce genre de présentation très longue, vous devez absolument maintenir l’attention de votre public. Les images sont donc primordiales, elles doivent être pertinentes. Évitez également de passer 10 minutes sur une même slide.

Un temps de parole d’une à deux minutes par slide est une bonne moyenne. N’hésitez pas à prendre 5 minutes si vous devez approfondir vos explications.

Une présentation de 45 minutes est généralement liée à un sujet complexe et la projection se fait généralement sur un grand écran. Tenez compte de ces éléments lorsque vous créez vos slides :

  • Adaptez la taille de vos éléments
  • Utilisez divers médias (images, graphiques, vidéos, etc)
  • Gardez un design cohérent tout au long de vos diapositives
  • Mettez les informations importantes sur la moitié haute de vos slides. Bien souvent les personnes au fond d’une salle ne voient pas bien le bas de l’écran.

Vous pouvez créer environ 25 slides, mais n’hésitez pas à en faire plus si besoin. L’objectif est que tout le monde puisse voir les informations que vous présentez à l’écran, et surtout que votre audience reste intéressée jusqu’au bout.

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3 méthodes pour sécuriser votre site staging

Un site dit « staging » est une réplique identique de votre site web : fonctionnalités, serveur, cache, bases de données, etc, tout doit être pareil. Son but ? Vous permettre d’effectuer des tests et des mises à jour avant de les passer en production et donc de les rendre visibles aux yeux de vos visiteurs.

Tout site web, quel qu’il soit, se doit d’être sécurisé. Nous avons déjà fait le point sur la sécurité des sites WordPress, mais qu’en est-il pour les sites staging ?

Dans cet article, nous allons voir les différentes méthodes pour rendre votre site staging inaccessible aux autres internautes afin que vous puissiez faire vos tests en toute sécurité.

Pourquoi sécuriser son site staging ?

Un site staging n’est accessible qu’aux membres de votre équipe, voire qu’à vous-même si vous êtes freelance. Pour autant, même si les internautes ne sont pas censés s’y rendre, il est primordial de le sécuriser.

Premièrement parce qu’il serait embarrassant que des internautes tombent sur une seconde version de votre site contenant du faux texte ou aient accès à votre nouvelle identité de marque que vous préparez en « secret ».

Et deuxièmement parce que d’un point de vue SEO, votre site staging pourrait réduire tous vos efforts en matière de référencement naturel. En tant que réplique identique, vous pourriez vous retrouver avec des problèmes de contenu dupliqué si votre site staging est indexé par les moteurs de recherche.

Pour ces deux raisons principales, vous devez vous assurer que votre site staging n’est pas indexé et qu’il n’est pas accessible aux autres internautes. Voyons à présent comment faire…

Comment sécuriser son site staging ?

Méthode 1 : L’authentification HTTP

Il s’agit de la meilleure méthode pour sécuriser votre site staging.

Cette authentification HTTP se fait généralement à l’aide d’un nom d’utilisateur et d’un mot de passe, c’est la méthode dite Basic. Dès qu’un utilisateur accède à l’url du site staging, les identifiants de connexion sont demandés.

En cas d’identifiants incorrects, l’utilisateur est redirigé sur une page d’erreur.

Attention
Pour que cette méthode soit pleinement sécurisée, il est recommandé de la mettre en place seulement si votre site staging utilise le protocole HTTPS.

L’authentification http basic est la plus efficace et aussi la plus pratique. Vous aurez en effet toujours accès aux outils Google pour tester votre site.

N’hésitez pas à faire appel à un freelance expert pour mettre en place l’identification HTTP sur votre site staging. Grâce à votre fichier .htaccess, il pourra restreindre l’accès à votre site réservé aux tests.

Méthode 2 : Le blocage du fichier robots.txt

Pour rappel, le fichier robots.txt est un fichier texte placé à la racine de votre site. Il indique aux moteurs de recherche les pages à ne pas explorer et indexer.

Afin que votre site staging ne soit pas exploré par les robots Google, il est nécessaire de leur bloquer l’accès à vos pages. Pour ce faire, renseignez le code suivant :

User-agent : *
Disallow : /

Cette deuxième méthode n’est pas la plus efficace :

  • Il n’empêche pas des personnes tierces à accéder à votre site staging
  • Google peut indexer votre site test s’il y trouve des liens : pour empêcher cela vous pouvez renseigner Noindex : / mais cette directive n’est pas toujours prise en compte
  • Il faut être prudent lors de la mise en production afin de ne pas transférer ce fichier robots.txt

Méthode 3 : Utiliser un accès VPN

Un VPN (Virtual Private Network) est, dans un bon français, un réseau virtuel privé. Il vous permet de vous connecter à un réseau local et de naviguer sur internet par le biais d’une connexion chiffrée. De cette façon, vos données sont sécurisées.

Pour sécuriser votre site staging, l’idée est de placer ce dernier sur un réseau fermé, par exemple celui de votre entreprise. Ont accès à ce dernier toutes personnes disposant d’un accès VPN.

Encore une fois, cette méthode nécessite l’intervention d’un expert. Vous pouvez déposer votre projet gratuitement sur Codeur.com pour trouver un freelance.

L’utilisation d’un accès VPN offre de nombreux avantages et semble une méthode tout aussi efficace que l’authentification HTTP. En revanche, certains outils de monitoring ne sont pas toujours accessibles.

Il existe d’autres méthodes pour sécuriser votre site staging, mais nous vous avons présenté les plus courantes, et surtout la plus efficace : l’authentification HTTP. Si possible, c’est celle-ci que vous devriez mettre en place.

 

Les 5 meilleures alternatives à GitHub pour gérer votre code

L’outil GitHub est une référence dans le domaine du développement web. Cette plateforme de gestion de code héberge des millions de projets open source dans plusieurs langages de programmation.

Les 36 millions d’utilisateurs peuvent profiter de nombreuses fonctionnalités : collaboration avec d’autres développeurs, vérification du code, création d’une documentation, suivi et gestion du projet, etc.

Si GitHub est une très bonne plateforme, sachez qu’il existe d’autres outils avec des fonctionnalités similaires vous permettant de gérer votre code. Nous faisons le point sur les alternatives à GitHub.

1. GitLab

Si vous cherchez à remplacer GitHub, GitLab est sans doute la meilleure option. Cet outil open source est utilisé par des entreprises mondialement connues telles que la NASA, Bayer, ING ou encore Sony.

En termes d’utilisation, GitLab est très proche de GitHub et vous permet de migrer facilement votre code de cette dernière plateforme.

Parmi les nombreuses fonctionnalités proposées, retenez que vous pouvez collaborer avec d’autres membres et vérifier la qualité de votre code. De nombreuses données vous sont fournies pour vous aider à mieux gérer votre projet et sécuriser votre code.

Pour débuter sur GitLab, profitez de l’abonnement gratuit. Vous pourrez ensuite passer aux abonnements payants, à partir de 4$ par mois et par utilisateur, pour accéder à des fonctionnalités supplémentaires.

2. BitBucket

Sur BitBucket, vous apprécierez l’interface intuitive et le dépôt de référentiels privés illimités et gratuits. La possibilité de donner des permissions aux utilisateurs s’ajoute aux demandes d’extraction et de révision du code.

Cette application de gestion de code source peut être une bonne alternative à GitHub pour les grandes entreprises : hébergée par Atlassian, BitBucket peut être intégré à d’autres outils de l’éditeur, notamment Jira, Bamboo et Confluence.

Si vous êtes freelance ou à la tête d’une petite entreprise rassurez-vous, BitBucket reste une très bonne alternative grâce à ses tarifs. L’outil est gratuit pour les équipes allant jusqu’à 5 personnes, au-delà l’abonnement commence à 2$ par mois et par utilisateur.

3. SourceForge

Avec ses 33 millions d’utilisateurs, SourceForge est l’outil open source de gestion de code le plus apprécié dans la communauté Linux.

Le point fort de cet outil ? La possibilité de créer en illimité des projets open source, et ce gratuitement.

D’autres fonctionnalités sont à découvrir. Vous pouvez fusionner des requêtes d’extraction et profiter d’un répertoire de code intégré. Des données statistiques vous sont communiquées sur les systèmes d’exploitation et les emplacements des personnes ayant téléchargé votre code.

Si vous souhaitez utiliser SourceForge en guise d’alternative à GitHub, vous pouvez facilement importer votre code grâce à GitHub Importer.

4. Cloud Source

Hé oui, Google a lui aussi son propre gestionnaire de code. Compatible avec GitHub et BitBucket, vous pouvez dupliquer votre code sur Cloud Source pour bénéficier des fonctionnalités proposées.

L’avantage de cet outil est la possibilité de profiter des autres outils de GCP (Google Cloud Platform) comme Google App Engine. Grâce à Cloud Source, vous pouvez aussi effectuer une recherche rapide de code via le navigateur source.

De nombreuses autres fonctionnalités sont à découvrir. Utilisez Cloud Source gratuitement dans la limite de 50 Go de stockage et 5 utilisateurs. Il faudra ensuite compter 1 $ par utilisateur et par mois.

5. AWS CodeCommit

Comme Google, Amazon possède sa propre solution pour héberger des référentiels Git privés. AWS CodeCommit s’avère être une bonne alternative à GitHub, surtout si vous utilisez les autres services d’Amazon Web Services.

Avec cet outil votre code est entre de bonnes mains puisqu’il est stocké dans le AWS Cloud. Grâce à AWS Identity and Access Management, vous pouvez aussi connaître qui accède à votre dépôt, et pourquoi.

AWS CodeCommit facilite la collaboration entre les utilisateurs et détient toutes les fonctionnalités que vous pouvez attendre d’une alternative à GitHub. Vous pouvez par exemple créer et fusionner des demandes d’extraction, créer des révisions de code et suivre les différents problèmes.

Dans une limite de 50 Go de stockage et de 10 000 requêtes Git par mois, AWS CodeCommit est gratuit pour les 5 premiers utilisateurs. Comptez ensuite 1 $ par mois et par utilisateur.

 

5 façons d’utiliser le marketing d’influence

80 % des entreprises jugent le marketing d’influence efficace et 71 % affirment que la qualité des clients et du trafic obtenus via cette stratégie est meilleure que celle des autres sources.

Si ce n’est pas encore fait, il est temps de vous intéresser aux influenceurs et à leurs communautés. Ces internautes passionnés ont une voix qui porte et qui vous aide à accroître la portée et l’exposition de votre marque.

Mais comment utiliser le marketing d’influence pour remplir vos objectifs ? Cap sur 5 stratégies à tester !

1. Pour accroître sa communauté sur les réseaux sociaux

Augmenter votre popularité sur les réseaux sociaux fait clairement partie de vos objectifs marketing ? Alors le marketing d’influence peut vous aider.

Les influenceurs comptent généralement des centaines de milliers (voire des millions pour les « stars ») de followers qui écoutent leurs paroles. Et vous, combien avez-vous d’abonnés sur Instagram, Facebook ou YouTube ?

Si vous venez de lancer votre activité, il y a peu de chance que vous dépassiez les 10 000 fans. Et même si vous avez une grande base de followers, imaginez si vous joignez votre communauté à la leur !

Proposez aux influenceurs sélectionnés d’organiser un concours sur leurs profils où ils feront gagner vos produits. Ce genre d’opération est très efficace pour augmenter sa communauté.

2. Pour booster les ventes d’un produit spécifique

Vous avez des produits qui sont à la traîne dans les ventes, ou vous venez de lancer une nouveauté ? Comptez sur les influenceurs pour en faire la promotion ! Avec leur charisme, ils peuvent vous faire gagner de nouveaux acheteurs.

En raison de leur crédibilité : si c’est bon pour eux, c’est bon aussi pour leurs followers. Grâce à un partenariat Instagram, ils peuvent montrer vos produits via IGTV ou en story, et placer un lien vers votre boutique.

Si l’influenceur.se a un blog, vous pouvez acheter un encart pub sur celui-ci ou monnayer un article de blog comprenant un call-to-action vers votre site internet.

Lorsque vous associez votre marque à un influenceur de premier plan, il peut établir votre marque comme étant digne de confiance et tendance. Une telle publicité peut donc augmenter vos ventes sur un laps de temps défini.

3. Pour doper vos retombées presse

Il n’est pas toujours évident de décrocher un article dans la presse généraliste ou spécialisée. Les journalistes qui travaillent pour des médias nationaux sont noyés sous les communiqués de presse.

Même si certains influenceurs sont très demandés aussi, ils sont parfois plus accessibles. Vous pouvez leur proposer de publier un article sur leur blog ou leur envoyer des produits pour qu’ils rédigent un test.

Vous pourrez ensuite démarcher les autres médias en mettant en avant les retombées que vous avez déjà eues sur des blogs célèbres.

4. Pour accroître le trafic sur votre site internet

Les encarts pub sur le blog de l’influenceur, les liens des produits inclus dans ses publications social media ou dans les articles du blog sont autant de sources qui dirigent leurs abonnés vers votre site.

Alors, si vous avez besoin d’accroître votre positionnement dans les moteurs de recherche, un partenariat avec un blogueur peut envoyer un message fort à Google.

Si tous les abonnés ne cliqueront pas forcément sur les liens, vous pouvez tout de même bénéficier d’une hausse certaine des visites durant la collaboration.

5. Pour cibler une niche

Peu importe votre activité, il existe forcément un réseau d’influenceurs spécialisés dans votre niche. Lorsqu’une marque cible un segment restreint, les opportunités publicitaires peuvent sembler limitées.

Avec le marketing d’influence, vous pouvez trouver de réels passionnés et profiter de leur communauté pour augmenter votre visibilité.

L’avantage avec une niche, c’est que si la quantité d’internautes fait défaut, la qualité est toujours au rendez-vous !

 

Promouvoir une marque, augmenter votre visibilité, cibler une audience précise, lancer une nouveauté… Le marketing d’influence couvre de nombreux objectifs marketing.

En sélectionnant des influenceurs pertinents et en adoptant une stratégie solide, vous pourrez tirer profit de cette stratégie pour booster vos ventes.

6 raisons d’utiliser le CMS WordPress

Vous souhaitez améliorer votre référencement naturel ? Générer du trafic qualifié depuis les moteurs de recherche est l’une des meilleures stratégie d’acquisition de ces dernières années.

Comme vous le savez, en SEO le contenu est roi. Le meilleur moyen de présenter ses contenus en optimisant son taux de conversion est le blog. En effet, nous sommes tous friand d’articles lors de notre cycle de décision. Surtout pour les achats complexes.

Très bien, mais quelle solution choisir pour héberger son blog ? Personnellement, je suis un grands fan de WordPress car selon moi il s’agit du meilleur CMS pour produire des contenus optimisés SEO. Je vous explique pourquoi en détails !

1. Les URLs

L’optimisation des URLs est très importante. Dans l’idéal, il faudrait que l’URL d’une page ou d’un article contienne le mot clé principal. Dans l’idéal également, l’URL devrait être courte.

Bonne nouvelle, WordPress propose de configurer ce qu’on appelle les “permaliens”, en somme, les URLs des pages et articles.

Il suffit d’aller dans Réglages -> Permaliens et de cocher la case “Nom de l’article” :

Par défaut, l’URL prendra le titre de la page ou de l’articles. Si le titre de mon article est “Comment développer son trafic grâce au SEO ?”, l’URL de mon article sera : monsite.com/comment-developper-son-trafic-grace-au-seo.

Trop long peut-être ? Très bien, dans chaque article, WordPress permet de modifier l’URL :

Soit directement en cliquant sur le titre de son article, soit à droite dans l’onglet “Permalink”. Je pourrais par exemple remplacer l’URL :

monsite.com/comment-developper-son-trafic-grace-au-seo

par :

monsite.com/developper-trafic-seo

Plus court, optimisé SEO, c’est parfait !

2. Le responsive design

Vous le savez, pour Google il est indispensable qu’un site propose une version adaptée aux grands écrans, mais aussi et surtout aux mobiles puisque le trafic web est de plus en plus mobile. Aujourd’hui, un site non responsive aura énormément de mal à bien se positionner.

Heureusement, sur WordPress, que l’on choisisse un thème gratuit ou bien un thème Premium payant, tous sont Responsive ! Faites donc attention à ne pas télécharger un thème datant d’il y a 10 ans …

La base de données officielle de thèmes gratuits WordPress regorge de thèmes Responsive et de qualité. Pour vérifier si un thème est responsive, vous pouvez le tester avec l’outil de test d’optimisation mobile de Google.

3. Les images

Les images … l’ennemi du SEO. On veut souvent mettre plein de belles images partout pour rendre son site plus beau. Seulement, chaque image devra être téléchargée par les visiteurs et cela peut parfois prendre pas mal de temps, surtout si les visiteurs n’ont pas la fibre optique.

La première solution sera de se calmer un peu sur les images : inutile d’uploader des images en 5000*5000px en super HD pour les afficher en 300px de large.

Ensuite, il sera bon de :

  • Renseigner une balise alternative (alt) sur chaque image
  • Compresser l’image

Pour la balise alt, WordPress le propose nativement ! Chaque fois que vous chargez une image, sans son édition, vous pouvez renseigner une balise alt qui contiendra si possible votre mot clé SEO et décrira l’image :

Pour la compression, ce n’est pas natif mais il existe des plugins gratuits à installer sur son WordPress qui vont compresser automatiquement vos images, réduisant ainsi leur taille sans pour autant nuire à la qualité.

Je recommande le plugin Smush Image Compression and Optimization.

4. La vitesse

La vitesse devient un critère de plus en plus important pour Google. En effet, comme je le disais le trafic étant de plus en plus mobile, les pages doivent s’afficher rapidement à l’internaute, qu’il ait la fibre optique ou bien qu’il soit perdu au fin fond de la Charentes avec une petite 3G.

En réduisant vos images, vous allez déjà accélérer la vitesse de chargement de votre site, mais d’autres optimisations peuvent vous permettre d’aller plus loin.

Il existe des plugins de cache gratuits qui vont permettre de mettre en cache vos pages WordPress directement sur votre serveur, mais également d’activer la mise en cache navigateur chez vos internautes.

Je recommanderais le plugin gratuit W3 Total Cache.

Des plugins payants peuvent permettre d’aller plus loin, en activant par exemple le Lazy Loading (les images ne se chargent qu’au moment où l’internaute arrive devant), la minification des fichiers CSS et JS (réduction du nombre de lignes de codes donc optimisation du chargement), nettoyage de la base de données, configuration d’un CDN (pour les sites internationaux).

Je recommande personnellement WP Rocket qui est français et qui coûte 49$ / an.

5. La balises meta

Indispensables à un bon référencement naturel, les balises meta description et Title sont stratégiques. Chacune de vos pages et chacun de vos articles doit présenter une balise Title et une balise meta-description optimisée (contenant un mot clé) et être unique.

Sur WordPress, nativement, la balise Title sera le titre de votre page ou de votre article, ce qui est mieux que rien, mais pas totalement optimisé. La description sera choisie par Google lui même, en fonction du contenu de votre page.

Tout ceci n’est pas optimal, mais heureusement il existe des plugins vous permettant de personnaliser vos balises.

Notamment, le très connu Yoast SEO. Il s’agit d’un plugin français et surtout gratuit ! Il vous permettra d’optimiser vos Title et meta description, mais vous permettra également d’activer d’autres optimisations, il s’agit d’un incontournable.

Comme vous pouvez le voir, la configuration de vos balises se fait très facilement. Yoast vous aide à respecter les règles de Google et vous donne un aperçue de la SERP (page des résultats de recherche) finale.

6. Le cocon sémantique

Rien de tel pour générer du trafic grâce au SEO qu’une architecture de sites en silos !

Qu’est-ce qu’une architecture en silos ?
Pour ceux qui ne le savent pas, la technique de Cocon Sémantique de Laurent Bourrelly consiste à structurer son site en plusieurs silos représentant chacun une thématique, contenant plusieurs niveaux de pages / articles se faisant des liens entre elles mais jamais entre les différents silos.

WordPress permet justement de créer une telle architecture très simplement, soit via la gestion des pages parents / enfants soit via les catégories d’article (pour un format blog). Il suffit ensuite de bien paramétrer ses menus et de gérer correctement le linking interne pour créer facilement son cocon sémantique.

Voici un cocon sémantique réalisé sur WordPress par l’agence Cocon.se :