Mise en place d’un système de Gestion Electronique de Documents

Un système de Gestion Electronique de Documents ou GED est une application logicielle capable de gérer les différentes étapes du cycle de vie du document (création, traitement, diffusion, élimination). La mise en place d’une telle solution répond au besoin de maîtriser et d’organiser la masse de documents qui circulent dans l’entreprise. Pour réussir un tel projet, il importe cependant de bien identifier les besoins de l’entreprise et de ses acteurs et de prendre en considération tous les aspects : le coût, le facteur humain et l’environnement technique du projet. L’étude des fonctionnalités des solutions de GED et l’analyse comparative de plusieurs solutions proposées par les éditeurs de logiciels constituent ensuite une étape indispensable à la réussite du projet. Cette synthèse présente les enjeux de la mise en place d’une telle solution dans l’entreprise et propose une démarche de mise en œuvre d’un système de GED ainsi qu’une analyse de certains logiciels du marché.

INTRODUCTION

Une Administration/institution produit/reçoit tout au long de son activité un grand nombre de documents. Certains sont vitaux (les titres de propriété ou les contrats), et doivent être conservés pour répondre à l’environnement réglementaire. D’autres encore, les documents dits de gestion tels que les comptes-rendus, les rapports, les documents bureautiques, peuvent être consultés dans le but de prendre une décision ou encore les documents d’exploitation. Par conséquent, la gestion et la conservation des documents au sein de l’entreprise sont des activités essentielles. Elles répondent à des objectifs d’ordre juridique et légal, à des enjeux patrimoniaux (constituer une mémoire d’entreprise et conserver les documents relatifs à l’histoire et à l’activité de l’entreprise) et à des enjeux stratégiques.

I- DEFINITION ET OBJECTIF DE LA GED 


DEFINITION
Dans le Dictionnaire encyclopédique de l’information et de la documentation, Jacques Chaumier définit la GED ou Gestion Electronique de Documents comme un « ensemble de logiciels concourant à réaliser les diverses étapes de la chaîne de traitement d’un document : acquisition, restitution, diffusion 1».
Un système de GED est donc une application logicielle qui vise à gérer et organiser l’ensemble de la documentation produite par l’entreprise.

La mise en place d’une GED dans une entreprise présente notamment les avantages suivants :
– accès rapide et à distance aux documents : le réseau (l’Intranet le plus souvent) permet l’accès à la base de GED et rend possible une consultation immédiate des documents
– base unique pour l’ensemble des documents de l’entreprise : les documents produits dans l’entreprise sont tous stockés dans une même base, prévenant ainsi le risque d’une dispersion des documents
– conservation des documents : le système de GED garantit la conservation des documents produits dans l’entreprise, et assure la pérennité dans l’accès aux documents
OBJECTIFS DE LA GED

Enjeux organisationnels et stratégiques
D’un point de vue stratégique, la mise en place d’une solution de GED rend possible une rationalisation des flux d’informations et donc un gain de temps. Elle permet notamment de :
– localiser plus rapidement l’information
– éviter la perte de documents
– éviter le redoublement des processus


La GED présente également de nombreux avantages pour la production de documents de manière collaborative. Couplée avec une fonctionnalité de Workflow, une solution de GED permet d’optimiser le processus d’édition des documents (cf. partie III.C)

Enjeux techniques
D’un point de vue plus opérationnel et technique, la GED garantit :
– La pérennité des documents et de leur support
– L’interopérabilité : les documents peuvent être accessibles sur différentes plates-formes et pour des usages divers
– La sécurité des données grâce à une fonctionnalité de gestion des accès
– La traçabilité : retrouver l’historique, l’utilisation, la localisation d’une entité au moyen d’identifications enregistrées

II- MISE EN PLACE D’UN SYSTEME DE GED

 

ANALYSE PREALABLE :
Afin de n’oublier aucun aspect, il est important de suivre une méthodologie précise de mise en œuvre à savoir:
LES PRINCIPES FONDATEURS DU PROJET : Il s’agit dans cette étape de définir les objectifs du projet, de préciser les attentes et Il est également important de déterminer le rôle et les responsabilités des différents acteurs impliqués dans le projet et d’identifier notamment le comité de pilotage, personnes mettant à disposition leurs compétences techniques pour la mise en œuvre
ANALYSE DES BESOINS ET ANALYSE DE L’EXISTANT: L’analyse des besoins, par le biais d’entretiens, permet d’avoir une appréhension globale des tâches et des fonctions de chacun dans l’organisme. Elle permet de connaître, pour chaque fonction, les besoins documentaires, les informations produites et les flux échangés.

ÉCUEILS A EVITER :
Cette partie présente les éléments de risque lors de la mise en place d’une solution de GED et détaille les moyens à mettre en œuvre pour garantir le succès du projet.
LE COÛT : Outre le coût du logiciel, la mise en place d’une solution de GED est coûteuse en temps et en ressources humaines. Le risque est de prévoir un budget insuffisant pour assurer le bon fonctionnement du système dans la durée. Le budget pour la mise en place d’une solution de GED doit notamment prévoir (étude préalable à la mise en place du logiciel, achat du logiciel et les coûts relatifs à sa mise en place)
LA RÉSISTANCE AU CHANGEMENT: Lors de la mise en place d’une solution de GED, plusieurs difficultés peuvent être rencontrées: le manque d’implication du personnel, la réticence des futurs acteurs du système face à l’arrivée d’un nouvel outil, la non-utilisation de l’outil en raison d’un manque de compétence. Des mesures doivent être prises pour pallier ces problèmes.
L’ENVIRONNEMENT TECHNIQUE: mise en œuvre d’un plan de migration et de recodification des données
Choix du logiciel :
La mise en place d’une solution de GED passe par l’analyse du logiciel. Plusieurs éléments doivent être analysés :
– Fonctionnalités offertes: acquisition et/ou création de document, stockage et archivage, recherche, consultation des documents, diffusion, fonctions spécifiques à l’entreprise.
– l’Architecture technique : relations stations serveur / stations clientes, réseau, protocole; développement spécifique du logiciel de GED, intégration à l’environnement bureautique.
– l’Offre de service de l’éditeur: Paramétrage, installation, formation, maintenance, support technique.
– Coût: Prix des licences, du développement, des services, politique de mise à jour

III- ENJEUX DE LA GED

ENJEUX TECHNIQUE :
– L’interopérabilité des formats : Dans l’environnement de l’entreprise, il est important que le document soit réutilisable et interchangeable. Lors de l’enregistrement d’un document dans un format donné, il faut qu’il puisse être accessible pour différents acteurs de l’entreprise et pour des usages divers (lecture à l’écran, impression, stockage, insertion d’objets, modification). L’interopérabilité des formats caractérise notamment la faculté pour ces formats d’être reconnus et lus sur des plates-formes, des logiciels et des médias différents. L’élaboration du standard XML est sensée répondre à ces objectifs
– La pérennité : La mise en place d’une solution de GED vise également à garantir la conservation des documents dans leur intégrité et la pérennité dans l’accès à ceux-ci. Plusieurs éléments doivent être pris en compte : la durée de vie des supports de stockage et celle des systèmes de lecture utilisés.
– la sécurité des données : Les enjeux relatifs à la sécurité des données conservées dans une base de GED sont:
– Garantie de l’authenticité des documents : la sécurisation du système de GED permet d’attester que le document n’a pas subi de modification
– Préservation de la confidentialité des informations présentes dans la base
– Protection contre l’altération volontaire des documents : modification, brouillage des données
– Protection contre l’altération involontaire des documents : erreurs de saisie par exemple
– Protection contre les dommages physiques (panne de matériel, incendie, etc.)

ENJEUX JURIDIQUES :
Le document écrit original est (à de rares exceptions près) la seule preuve valable pour la loi française. Les documents ont en général une durée de prescription légale de 10 ans. Ces faits sont des freins au développement du document électronique qui ne remplit pas la condition d’irréversibilité, de non reproductibilité et de localisation caractérisant le document original.
La valeur légale du document numérique dépend d’une part du type de document numérique produit et d’autre part de l’ensemble des textes qui s’appliquent à l’activité de l’entreprise.

DUO EXPERTISE

UNE NOUVELLE ERE DEBUTE A DUO EXPERTISE

Le 17 décembre dernier, DUO EXPERTISE a organisé un buffet  pour célébrer sa décennie d’existence, en présence de toute l’équipe et certains partenaires. La communion qui a duré trois heures, était riche en émotion. Fous rires, nostalgie, fraternité et surtout : Nouveau départ.

Le personnel de DUO EXPERTISE a vécu un moment mémorable et historique vendredi dernier.  A l’occasion des 10 ans de l’entreprise, le Head staff a tenu à marquer l’évènement  autour d’un buffet. Objectifs : Célébrer le chemin parcouru jusqu’ici, l’abnégation de tous et chacun, les challenges remportés, les défis relevés avec brio et l’accomplissement de tous dans leurs domaines respectifs.

L’heure étant au bilan et à la projection du nouveau chapitre qui s’ouvre pour l’entreprise.  Alors qu’une nouvelle ère commence, rassembler ses soldats pour les galvaniser,  les booster pour de challenges encore plus grands.

Pour donner un plus grand éclat à cette journée,  la toute première récompense du meilleur employé de l’année a été décernée à Madame TCHOUTA Colline. La Responsable du département webmarketing et spécialiste en référencement (SEO/SEA) se voit honorée pour sa dévotion, son assiduité, sa progression dans le rendement et surtout son engagement envers DUO EXPERTISE qui dure depuis cinq années déjà. 

Un autre fait marquant pour ce 17 décembre, il coïncidait avec la date de naissance du CEO, Madame MAKENGNE Nikème qui célébrait une année de plus.

La journée qui avait débuté très tôt avec l’effort humain, qui consistait à astiquer les locaux, c’est poursuivi par les célébrations, pour se clôturer avec un souvenir inoubliable et une page de l’histoire de l’entreprise bien archivée au fond de nos mémoires.

Vivement que cette nouvelle ère soit fructueuse et prospère et qu’ensemble, nous cheminons vers l’excellence, chacun y apportant de sa magie.

6 conseils à suivre avant d’acheter un site Internet

Acheter un site Internet est une méthode populaire pour réaliser des profits en ligne. Mais ce n’est pas si facile qu’il y paraît. Avant tout achat vous devez vérifier de nombreux points.

Vous cherchez à acheter un site Internet ? Cette méthode populaire pour réaliser des profits en ligne est bien connue des e-businessman. Il peut-être tentant de profiter des bénéfices d’un grand site web en réalisant peu d’effort.

Cependant, ce n’est pas si facile qu’il y paraît.

Avant d’acheter un site Internet, vous devez vérifier de nombreux points. Cap sur 6 éléments à prendre en compte avant d’investir dans un site web !

1. Partez sur de bonnes bases

De la même manière que vous n’achèterez pas une maison simplement parce que vous aimez la façade, ne prenez pas des décisions motivées par le design du site ou le descriptif de base.

Faites vos propres recherches concernant les actifs, le concepteur et l’historique du site web. Regardez les critiques recueillis pendant leur activité. Exactement, comme si vous vouliez acheter un produit sur ce site.

Notre conseil
Si le concepteur et le propriétaire ont une mauvaise réputation auprès de la clientèle ou liée à leur fonction précédente, passez votre chemin et trouvez un autre investissement.

2. Consultez le site web

Naviguez sur le site Internet et posez-vous les questions suivantes :

  • Offre-t-il une expérience utilisateur optimale ?
  • Quelle est la vitesse d’exécution des recherches, des commandes ?
  • Le site est-il compatible avec le mobile ?
  • À quoi ressemble le domaine : est-il court, attrayant, moderne ?

N’investissez pas vos économies dans un site web avec une URL compliquée, une navigation houleuse et un temps de chargement lent. Vous pouvez être sûr que le référencement ne sera pas top et que, le peu d’internautes qui visiteront le site, le quitteront immédiatement.

Jetez un coup d’œil à leur historique de ventes et vérifiez s’il est cohérent et durable. Analysez les stratégies marketing mises en place et voyez ce que vous pouvez garder ou améliorer.

3. Analysez le SEO

Qu’en est-il du positionnement du site Internet sur les moteurs de recherche ? Est-il bien placé sur des requêtes pertinentes ?

Par ailleurs, vérifiez si le site dispose d’un blog. À l’heure actuelle, il est difficile d’être en première page sans publier régulièrement du contenu.

Notre conseil
Vous pouvez utiliser des outils pour connaître les mots-clés utilisés, comme Alexa ou SEMrush, par exemple.

Ensuite, n’hésitez pas à effectuer ces requêtes sur Google pour vérifier à quelle page le site apparaît. S’il apparaît au-delà de la première page, il faudra sûrement investir dans le SEO pour arriver en première page. Plus le site est éloigné, plus l’investissement sera important…

4. Analysez les sources de revenus

Pour être sûr d’avoir un retour sur investissement, regardez comment le site web gagne ses revenus : vente de produits/service, Google Adsense, affiliation, abonnements…

Si l’e-business que vous cherchez à acheter n’a qu’une ou deux sources de revenus, vous devrez peut-être faire d’autres investissements pour créer des revenus plus fiables.

Notre conseil
Au cas où leurs revenus viennent exclusivement des produits ou services, assurez-vous qu’ils sont réguliers pendant une année et surtout, qu’ils sont en phase de croissance.

5. Examinez la maintenance du site web

Selon la plateforme qui l’héberge, un site Internet sera plus ou moins facile à entretenir, à personnaliser ou à optimiser.

Si vous êtes novice, travaillez aux côté d’un professionnel ou dirigez-vous vers des sites qui reposent sur des CMS comme WordPress, Prestashop, Wizishop…

Pensez également à demander au vendeur un rapport de maintenance :

  • À quelle fréquence les mises à jour sont effectuées ?
  • De quand date la dernière mise à jour ?
  • Quels sont les problèmes récurrents ?

6. Le prix

Il n’y a pas de prix fixe pour un site web. Cela va dépendre des performances de celui-ci.

Mais attention, si un vendeur demande beaucoup moins que la moyenne, il doit y avoir un problème ! S’il donne un prix étrangement élevé, soit le site est vraiment très performant (et vous le verrez durant votre enquête), soit c’est une arnaque !

 

Pour acheter un site Internet performant, prenez le temps de discuter avec le vendeur et demandez-lui tous les justificatifs.

S’il accepte volontiers, vous pouvez être en partie rassuré. Mais n’oubliez pas de vérifier les éléments que nous avons listés ci-dessus pour réellement prendre votre décision en toute connaissance de cause.

Marketing digital: Nouvelle tendances à connaître

Cette article  met en avant les nouvelles technologies et les plateformes qui auront une influence sur le comportement des consommateurs et les stratégies marketing des entreprises.

Voici quelques tendances majeures du marketing digital

L’optimisation des taux de conversion

Processus consistant à augmenter le pourcentage de visiteurs sur un site web se transformant en clients, l’optimisation des taux de conversion (CRO) prendra une place encore plus prépondérante au sein des stratégies marketing élaborées par les entreprises l’an prochain. Le CRO est souvent lié à l’expérience de l’utilisateur sur un site web, à laquelle Google accorde une importance capitale dans son référencement.

La publicité «darwinienne»

Cette tendance repose sur l’utilisation d’algorithmes d’intelligence artificielle dans la publicité numérique. Google AdWords utilise ainsi un algorithme mathématique qui associe la requête de recherche d’un utilisateur avec des mots-clés d’un annonceur afin d’attribuer un «score de qualité» à l’annonce.

Au fil des recherches des internautes, l’algorithme rassemble les informations provenant de plusieurs sources différentes pour proposer à l’utilisateur une annonce sur laquelle il est le plus susceptible de cliquer. Pour sortir du lot, le défi pour les entreprises est d’optimiser toutes les composantes créatives de leur site (couleurs, polices…) pour attirer le consommateur.

L’optimisation du marketing cross-device

Malgré l’utilisation croissante des smartphones, beaucoup de clients continuent de s’informer sur les produits d’une société à partir d’un ordinateur portable ou d’un PC fixe. Dans ce contexte, l’enjeu pour les entreprises sera d’utiliser les données démographiques des consommateurs et le parcours client pour optimiser l’expérience du consommateur, en fonction du lieu, du moment et de l’appareil du client.

Sur un smartphone, les consommateurs recherchent généralement des informations de localisation précise, notamment pour trouver un café proche de leur position. Cependant, certains d’entre eux collectent des informations à plusieurs reprises et sur plusieurs appareils, ce qui oblige les entreprises à avoir une approche marketing multicanal.

Facebook Live

Résultat de l’adoption généralisée des smartphones et des quantités croissantes de trafic web et vidéo, Facebook Live constitue un moyen pour les entreprises de toucher directement les consommateurs.

Simple à utiliser, cet outil de diffusion vidéo en direct permet aux sociétés, peu importe leur taille, d’accroître l’engagement des personnes qui les suivent sur Facebook.

Les applications mobiles de messagerie

A l’image de la vidéo sur les réseaux sociaux, les applications mobiles de messagerie gagnent du terrain. Ainsi, Facebook Messenger, WhatsApp, Snapchat ou encore WeChat ne cessent de gagner en popularité dans la mesure où leurs utilisateurs cherchent de nouveaux moyens pour communiquer autour d’eux en dehors des réseaux sociaux traditionnels, comme Facebook et Twitter notamment.

L’utilisation croissante des messageries mobiles fournit de nouvelles options pour les entreprises afin d’atteindre les consommateurs, malgré leurs réticences à l’égard de la publicité.

3 règles d’or pour rediger un bon contenu

Ecrire pour le web n’est pas simple mais c’est indispensable rediger  un bon contenu pour attirer, fidéliser et convertir les visiteurs de votre site. Vos textes doivent convaincre vos lecteurs, tout en étant optimisé pour les moteurs de recherche. Nous allons voir ensemble les règles d’or pour créer du contenu sur le web :

  • Déterminer une cible et adapter le fond et la forme pour cette audience
  • Écrire des titres accrocheurs
  • Faciliter la lecture sur un écran (ce n’est pas du print !)
  • Optimiser vos textes pour une lecture sur mobile
  • Écrire pour Google
  • Utiliser des bonnes techniques de relecture

 

1. Mettez-vous à la place de votre cible

Comment écrire pour le web ? Commencez par vous dire que vous n’écrivez pas pour vous mais pour vos lecteurs ! Si vous animez un blog ou créez votre site Internet, vous devez réfléchir à l’audience que vous visez. Cette audience a des attentes particulières, ses habitudes, ses envies. Adaptez les messages et le ton que vous employez dans le but de plaire à votre public.

Je vous conseille vivement d’humaniser vos textes le plus possible pour écrire pour le web. Il faut que le visiteur ait l’impression que vous lui parlez. Nous passons de plus en plus de temps face à un écran mais nous avons toujours autant besoin d’échanger avec les autres.

Demandez-vous ce que le visiteur recherche sur la page. Puis faites ressortir clairement cette information. Plus le visiteur trouvera rapidement et facilement l’information qu’il cherche, plus il y a de chances qu’il revienne plus tard sur votre site, ou le recommande.

2. Travaillez vos titres

Les titres aussi sont très importants pour écrire pour le web efficacement. Ils permettent à la fois d’accrocher le visiteur et de le guider en hiérarchisant l’information, Essentiels pour convertir ! Ils influent aussi sur votre référencement naturel (voir le dernier paragraphe).

Le lecteur doit comprendre tout de suite ce dont la page va parler. Il doit pouvoir identifier s’il est sur la bonne page et avoir envie d’en savoir plus.

Privilégiez des titres courts. Supprimez les éléments inutiles. Ni le lecteur ni les moteurs de recherche n’apprécient les fioritures dans les titres. Ils doivent aller à l’essentiel. Evitez les adjectifs inutiles et les adverbes à tout va.

3. Facilitez la lecture et Optimisez vos textes pour le référencement

Pensez à l’expérience de l’utilisateur. Le web n’est pas adapté aux gros pavés de texte interminables. Si la lecture est difficile, le visiteur quittera la page pour aller chercher l’information ailleurs. Vous aviez passé beaucoup de temps pour améliorer votre référencement naturel. Le visiteur était là…. mais il est reparti !

Hiérarchisez l’information. Utilisez des titres et sous-titres pour permettre, rapidement et facilement, de hiérarchiser l’information.

Structurez vos textes ou articles en paragraphes courts. Un paragraphe doit faire passer une idée, pas plus. Au sein de ces paragraphes, faites des phrases courtes et claires. Tout le monde doit comprendre ce que vous racontez. Vous pouvez faire ressortir votre expertise tout en utilisant un vocabulaire compréhensible pour vos lecteurs.Si l’information à retenir ne ressort pas, beaucoup ne liront pas le texte jusqu’au bout. Attention, le texte souligné prévient qu’il s’agit d’un lien, privilégiez le texte important en gras.

A quoi bon rédiger du super contenu si personne ne le lit ? Rédiger vous prend du temps, et votre temps est précieux. Il faut que vos contenus soient bien référencés.

Ne faites pas l’erreur d’écrire vos textes en ne pensant qu’au référencement naturel : pas trop de mots clés au risque de faire fuir vos lecteurs.

[Tweet « A quoi bon rédiger du contenu à forte valeur ajoutée si personne ne le lit ? #webmarketing #seo »]

Pour être efficace, voici quelques  règles à suivre :

  • Choisir de bons mots clés. Vous devrez les reprendre dans le titre, les sous-titres et plusieurs fois dans les paragraphes.
  • Mettre  des liens internes, de préférence dans le texte : faites les lier vers d’autres pages de votre site et les  liens externes : vers des sites de partenaires par exemple
  • Intégrer vos mots-clés dans le code HTML de la page : balise H1 et H2.
  • Travailler et personnaliser les meta titres et meta descriptions.

 

RESPONSIVE DESIGN

Un site web adaptatif (anglais RWD pour responsive web designconception de sites web adaptatifs selon l’OQLF1) est un site web dont la conception vise, grâce à différents principes et techniques, à offrir une expérience de consultation confortable même pour des supports différents. L’utilisateur peut ainsi consulter le même site web à travers une large gamme d’appareils (moniteurs d’ordinateur, smartphones, tablettes, TV, etc.) avec le même confort visuel et sans avoir recours au défilement horizontal ou au zoom avant/arrière sur les appareils tactiles notamment, manipulations qui peuvent parfois dégrader l’expérience utilisateur, tant en lecture qu’en navigation. Un site web adaptatif est un exemple de plasticité des interfaces.

Principe

La notion de web adaptatif repense la manière de concevoir les parcours de navigation sur Internet, de concevoir une seule interface auto-adaptable. Ainsi, les sources d’information et les socles techniques ne sont pas dupliqués. Cela engendre des économies d’échelle dans la conception et la maintenance de sites internet bénéficiant de ce mode de conception.

Composants principaux

Un site web pensé sur le principe du RWD2 utilise la technologie CSS3 media queries3,4, une extension de la règle @media5 pour adapter la mise en page à l’environnement de consultation grâce à une grille fluide dans laquelle se disposent les différents contenus de la page6.

  • Media queriespermet à la page d’utiliser des règles CSS différentes en fonction des caractéristiques du terminal de consultation. Le plus communément il s’agit des règles appliquées en fonction de la largeur du terminal. Ces différentes largeurs sont appelées « points de rupture » et correspondent à un besoin de modifier la mise en page à partir d’un certain seuil critique pour la facilitation de la navigation et de la lecture du contenu.
  • Le concept de grille fluide consiste en un dimensionnement relatif des différents blocs de la page. Les unités relatives comme les pourcentages ou les EMsont assez adaptées pour cela, beaucoup plus que les unités absolues comme les pixels ou les points6.
  • Les images ayant un besoin de flexibilité sont également redimensionnées en unité relative, afin de prévenir un éventuel débordement du contenu en dehors de son élément

Technique

Le concept de RWD, tel que décrit par Ethan Marcotte7, s’appuie sur les trois éléments techniques cités précédemment.

Si les media queries sont souvent mis en avant comme l’élément technique principal du Responsive Web Design, pour Marcotte E., ils ne servent qu’à apporter quelques modifications dans l’interface quand l’utilisation de grilles fluides ne permet pas de résoudre tous les problèmes liés à l’adaptabilité du produit8.

Pour faciliter la création de modèles adaptatifs pour le web, et gagner ainsi du temps, il existe de nombreux framework en responsive CSS (Bootstrap, Foundation, Gumby, Skeleton…).

Conception et approches

Le concept de RWD est apporté avec la multiplication des terminaux de consultation de sites web. Il convient d’avoir à l’esprit deux approches différentes du Design de site web adaptatif.

Responsive degradation

En partant de la version ordinateur de bureau du site web, certains éléments constituant la page web sont progressivement remis en forme à mesure que la largeur d’écran diminue, quand ils ne sont pas tout simplement enlevés. Il s’agit d’adapter le design en fonction de la résolution décroissante de l’écran. Le cas le plus fréquent et le plus parlant est le passage d’un site disposant de plusieurs colonnes en version bureau, à une seule en version mobile.

Cette méthode est parfois remise en cause dans la communauté des web designers, puisque dans la réalité, un Smartphone chargera la version bureau du site web et la version mobile, et donc téléchargera des données de style non nécessaires et des images qui peuvent être lourdes depuis un réseau cellulaire.

Mobile first (le mobile en premier)

La notion de mobile first peut être considérée comme un mode de pensée dans lequel on privilégierait la construction d’une interface ergonomique pour terminaux mobiles avant d’établir l’ergonomie pour un terminal « desktop » (de bureau). Ce qui est, dans l’histoire d’Internet, l’affichage traditionnel. Cette pensée a pour objectif d’améliorer l’expérience utilisateur (UX).

L’élaboration d’une interface ergonomique sous la contrainte d’un faible espace d’affichage force à épurer au maximum les éléments visibles par l’utilisateur final. Une tendance que l’on retrouve de plus en plus dans l’ergonomie des interfaces web.

Cette pensée est de plus en plus privilégiée par des outils destinés à la création de site web. Par exemple le CMS Drupal élabore la version 8 de son CMS en essayant d’intégrer cette pensée « Mobile First ». L’augmentation constante des ventes de « Smart Connected Devices » (PC, smartphone et tablette) a augmenté l’intérêt de réalisation de templates en RWD pour la plupart des outils de gestion de contenu. WordPress et Joomla! proposent également des designs intégrant la dimension responsive.

Pour aller plus loin, de nouveaux systèmes de gestion de contenu intègrent le responsive web design dans leur conception. Certains CMS comme Rubedo intègrent nativement des systèmes de mise en page à l’aide de Grilles Fluides et permettent (grâce aux Media Queries) de définir les éléments des pages qui s’afficheront en fonction des supports à l’aide de simples cases à cocher.

Comment installer Bootstrap

Twitter fait l’objet d’une plainte pour ne pas avoir tenu sa promesse de croissance

 Twitter fait l’objet d’une plainte pour ne pas avoir tenu sa promesse de croissance
Une actionnaire estime que la firme a trompé ses investisseurs
Le , par Coriolan, Chroniqueur Actualités

Rien ne marche plus pour Twitter, la firme a été poursuivie en justice pour avoir trompé les investisseurs sur des indicateurs clés de croissance, incluant le nombre d’utilisateurs et leur engagement sur la plateforme. Cette poursuite judiciaire survient deux ans après l’introduction de Twitter en bourse, qui prévoyait de réunir 500 millions d’utilisateurs à moyen terme.La croissance du nombre d’utilisateurs de Twitter a ralenti rapidement durant le dernier trimestre de 2014, passant de 14 millions par trimestre à 4 millions d’utilisateurs en un an. Au début de 2015, la firme a promis de revenir en forme, une promesse qui n’a pas été tenue, puisque la base d’utilisateurs du réseau social a continué de décliner, causant une chute du cours du titre depuis mi-2015. Cette poursuite survient à un moment où Twitter peine à garder son audience et empêcher leur migration vers d’autres services concurrents comme Snapchat et Instagram.La poursuite a été déposée dans la cour fédérale de San Francisco, l’actionnaire Doris Shenwick estime que les dirigeants de Twitter ont induit en erreur les investisseurs sur les perspectives de croissance du réseau social en novembre 2014, en promettant une augmentation du nombre d’utilisateurs pour atteindre 550 millions à “moyen” terme et plus d’un milliard dans le “long terme”. La complaignante estime que la firme a failli à ses objectifs et que ses projections n’avaient aucun fondement.

Comparé à ses concurrents, Twitter avec ses 313 millions d’utilisateurs actifs par mois, est à la traine et c’est le moins qu’on puisse dire. Facebook compte 1,71 milliard d’utilisateurs mensuels, Instagram a 500 millions. Même Snapchat a dépassé Twitter en termes d’utilisateurs actifs chaque jour, favorisée par la croissance explosive de son audience relativement jeune qui utilise la plateforme pour suivre les profils de célébrités. Snapchat est la neuvième application mobile la plus populaire aux États-Unis, elle a surpassé 50 millions d’utilisateurs mensuels en avril dernier, faisant mieux que Twitter pour la première fois.

Twitter ne souffre pas de problèmes de croissance seulement, la plateforme elle-même est remise en cause en raison de nombreuses pratiques qui n’aident pas à engager les utilisateurs, à savoir la prolifération des faux comptes et surtout la tolérance à l‘intimidation et le harcèlement. Bien évidemment, Twitter a toutes les règles pour prohiber ces pratiques, mais elles sont rarement appliquées comme il le faut. En conséquence, les utilisateurs journaliers sont frustrés et il y a ce sentiment que la plateforme pense seulement à protéger les utilisateurs à haut profil. C’est donc sans surprise que beaucoup n’écartent pas la possibilité de la disparition de Twitter alors que les rumeurs de rachat du réseau social continuent de surgir.

Cette poursuite judiciaire cherche à acquérir un statut de class-action afin de représenter tous les actionnaires qui ont acheté des actions entre le 6 février 2015 et le 28 juillet 2015.

Source : BloombergAffaire

Archivage: Documents Engageants

Archiver des documents Engageants

L’archivage ne vise pas tout document, toute donnée ou toute information, mais Seulement  les documents qui engagent leur détenteur. Ces documents, originaux ou copies, constitués ou non en dossiers, sont fixés sur des supports.

Document

Objet constitué d’un support et de l’information qu’il porte, considéré comme un tout signifiant. On rappelle souvent que, La définition de document est assez Complexe, étymologiquement, le document enseigne quelque chose, c’est-à-dire transmet une information à son destinataire.

Dans une perspective d’archivage, quatre critères sont à prendre en compte pour gérer un Document :

  1. si le contenu du document est engageant ou non,
  2. si le document est achevé et complet ou non (version validée),
  3. s’il s’agit de l’original (ou de la copie de référence) ou d’une autre copie,
  4. si le document est lié à d’autres documents pour que le message soit complètement compréhensible (pièces justificatives, dossier).

Il est de plus en plus fréquent qu’un document comporte plusieurs composants, naguère du texte, de l’image et du son, aujourd’hui des fichiers de différents formats en fonction de la nature des informations traitées (texte, tableau, image animée…)

Document engageant

Un document engageant est un document achevé et validé, produit ou reçu au nom d’une entreprise ou d’un organisme, qui contient une décision ou une information entraînant ou susceptible d’entraîner une incidence financière ou la responsabilité morale de son détenteur. Un document engageant doit être authentique, fiable et intègre.

L’expression « document engageant », bien qu’encore peu répandue, apparaît comme la meilleure façon aujourd’hui de rendre le terme anglais « record » pour le différencier des documents de travail ou de la documentation extérieure, et pour éviter l’ambiguïté du mot archives, trop technique ou trop culturel.

Un document engageant est un document achevé, daté, validé et figé de sorte qu’on peut ou qu’on doit pouvoir s’y référer (en tant qu’émetteur ou destinataire) pour appuyer une action ou défendre un droit. Le document engageant est un document original (décision interne, document reçu) ou un